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@dominique_meda @random_poisson @Economie_EELV Pardon mais si nous investissons massivement, par le seul jeu des égalités comptables qui sont le substrat du calcul du PIB (et donc de la croissance), il est fort probable que la transition écologique soit génératrice de croissancePermalink
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Mood +2 🙂
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@dominique_meda @random_poisson @Economie_EELV Il me semble d’ailleurs avoir perçu une évolution dans la profession des économistes au cours des dernières années : la transition écologique était vue comme un coût net, elle est de plus en plus perçue comme un vecteur de croissancePermalink
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@dominique_meda @random_poisson @Economie_EELV Il y a même un débat (plus limité mais qui me paraît intéressant) sur l’idée que l’on *aurait besoin* de la croissance pour financer et mettre en œuvre au plus vite la transition écologique On aurait besoin des investissements dont vous parlez, mais aussi…Permalink
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@dominique_meda @random_poisson @Economie_EELV … de nouvelles entreprises qui développent de nouveaux produits, nouveaux process, etc. qui serviront à remplacer ceux qui existent aujourd’hui et qui émettent trop de CO2 Si la croissance est atone, voire négative, qui dans le privé investira dans ces nouvelles entreprises ?
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@dominique_meda @random_poisson @Economie_EELV Je ne dis pas que la question est empiriquement tranchée (elle ne l’est pas, et ne le sera sans doute que lorsque la transition écologique sera davantage avancée) Mais le débat autour de la croissance mériterait, je crois, qu’on le fasse vivre avec un peu plus de rigueurPermalink
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@dominique_meda @random_poisson @Economie_EELV Je ne fais pas référence à vos propos, c’est une remarque générale Il me semble que compte tenu de l’enjeu, nous avons une responsabilité aussi bien collective qu’individuelle à argumenter avec la rigueur la plus extrême afin d’éclairer au mieux le débat publicPermalink
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